BAZBAZ
Trois ans seulement après la réussite de Love Muzik, Camille Bazbaz, le « Punk Lover » number one sort en 2016 l’album Bazbaz Café, en CD et LP
Secret le mieux gardé de la pop française, Camille Bazbaz a collaboré avec des artistes de renom tels que –M–, Olivia Ruizet Winston McAnuff. Il prouve une fois de plus son talent sur Bazbaz Café avec « Roucoule », premier single de l’album déjà en playlist de France Inter, RFM et Sud Radio, ou encore avec « Un baiser », duo sulfureux partagé avec les excellentes Brigitte, véritable ode à un amour conscient.
Réalisé par Yarol Poupaud, génial guitariste des FFF, leader de Black Minou et directeur musical de Johnny Hallyday, ce nouvel album présente onze chansons du crooner voguant, classe et décontracté, entre pop, chanson française et reggae. .
Vidéos
Biographie
« Je m’appelle Bazbaz, c’est mon vrai nom de famille !
Je suis né sur cette planète de fous en 1967 d’un père libanais et d’une mère française.
Les oreilles de mon enfance furent baignées de soul de Jazz et de musique brésilienne qu’écoutait mon père. Mais aussi de cette horrible soupe de variétés française que crachait la radio toute la journée. Très vite je fréquentais avec assiduité les derniers rangs de l’école naviguant entre dernier et avant dernier de la classe. J’y rencontre très vite d’autres rêveurs qui devinrent les membres de mon premier groupe Le Cri de la Mouche. J’y faisais de l’orgue et… des cris. Nous étions cinq et le regretté Thomas Kuhn chantait. Il me manque à vie, c’est ainsi. Fort d’un petit succès de lycée, nous primes la route à l’âge de 18 ans et ne revinrent jamais chez nous. Yeah !
La route le Rock’n’Roll l’aventure et la liberté. C’était clair, la musique allait être mon artisanat pour toujours et à fond. Amen !
Le cri de la mouche eut son heure de gloire puis nous nous séparâmes dans d’affreuses douleurs, comme dans les histoires d’amour. Je décidais alors de chanter et d’écrire mes propres chansons. J’avais trente ans et nous étions en 1996.
J’eus vite la chance d’enregistrer un premier album Dubadelik, sur lequel figurait d’ailleurs Joey Starr venu en pote me donner un sacré coup de main. Puis il y eu en 2000 Une envie de Chien enregistré en Suède où il ne fait jamais nuit. Le succès avec « Sur le bout de la Langue » en 2004. En 2007 Le Bonheur Fantôme et La Chose en 2010. Il y eut d’innombrables concerts qui me menèrent de Ris Orangis à Rio de Janeiro. Mais c’est un livre qu’il me faudrait pour vous raconter ces aventures-là !
J’ai aussi écrit quelques musiques de films pour l’incroyable Pierre Salvadori « Comme Elle Respire » en 98, « Les Marchands de Sable » en 2000, « Après Vous » en 2003 et « Hors de Prix » en 2006, pour lequel j’ai eu un prix. C’est d’ailleurs sur le tournage du film Après Vous que je rencontre la charmante Sandrine Kiberlain, qui cherchait un compositeur pour mettre en musique ses textes, ce que je fis avec enthousiasme, et le projet fut même disque d’or.
Il y a 10 ans, mon amour éternel pour le reggae me fit rencontrer par hasard l’électrique chanteur jamaïcain Winston Mac Anuff. Une amitié instantanée était née et nous fîmes deux albums ensemble : A Drop (2007) et A Bang (2011). Ce fut l’occasion pour moi de réaliser un grand rêve, travailler à Kingston avec de grands musiciens jamaïcains tels que Sly Dunbar et Robbie Shakespeare. Stiky, Earl China Smith, Bongo Herman, The Roots Radics.
Amicalement vôtre. »
Bazbaz