Mass Hysteria
Quelques mois après avoir marqué au fer rouge la France du Metal lors de la tournée du Gros 4, MASS HYSTERIA revient avec son 10ème album intitulé TENACE, sorti en deux parties : TENACE – Part 1 le 26 mai, et TENACE – Part 2 le 27 octobre.
Enregistrées aux mythiques Studios ICP (Bruxelles), réalisées par Fred Duquesne (Ultra Vomit, No One Is Innocent), et masterisées par Ted Jensen (Deftones, Gojira, Alice In Chains), MASS HYSTERIA a ainsi choisi de déguiser ce qui n’était autre qu’un double album en deux actes, compacts et intenses, à la narration bien distincte.
En développant plus loin encore sa signature musicale, MASS HYSTERIA n’a pas hésité à expérimenter davantage : qu’il s’agisse de trap ou du duo virtuel avec Fréhel sur le premier volet, cette suite-miroir apparaît toute aussi aventureuse. Si les riffs très typés Slayer reposent sur de redoutables mid-tempos mécaniques et cliniques tant attendus, les orchestrations de certains titres s’avèrent plus épiques et grandioses encore, à l’image de l’imposant « Un Assange passe ». Et à l’instar d’un Rammstein, le caractère rigoureux et martial d’un « Ex-Voto » tutoie des racines cold-wave certaines — et que dire de ce fragile violon qui introduit alors « L’émotif impérieux », puissant comme les c(h)oeurs de l’armée rouge ? Enfin l’electro dub minimaliste qui introduit « Le club du feu » feint de cautériser les dommages causés par les six morceaux précédents — avant de s’achever comme… un bouquet final.
Après être revenu au sommet à la faveur de la trilogie d’albums magistraux L’Armée Des Ombres (2012), Matière Noire (2015) et Maniac (2018), MASS HYSTERIA confirme de la plus belle des manières avec TENACE – Part 1 et Part 2 qu’il est un groupe unique sur la scène Metal française et européenne.
Vidéos
Biographie
22 ans.
L’âge de l’émancipation, où l’on entrevoit la liberté, où l’on se rêve.
Ici c’est l’âge où l’on assume et l’on impose.
Mass Hysteria a su au fil des albums et des années se diversifier, rester cette entité solide et dévastatrice à l’image de son nom, rester Mass Hysteria.
Bravant les modes, les périodes noires, avec un amour sans failles pour la musique et pour cette alchimie indescriptible entre le groupe et son public, ne cessant jamais d’agrandir son cercle de conquis.
Fort de son expérience et de ses années passées, Mass Hysteria ne s’arrête plus aux détails et distille aujourd’hui la recette unique qu’ils ont imposé dans l’hexagone et bien au-delà pour ne garder que l’essentiel.
Une musique pleine de contradictions où se mêlent des sentiments aussi nombreux que différents, à l’image d’une vie.
Pas la vie rêvée, fantasmée ; Juste la vie.
La vie brutale, la vie qui ne fait pas cadeaux, la vie parfois si lourde à porter mais également la vie légère, aérienne, la belle vie.
Le bien-être est donc bien présent ; la paix ne le sera jamais.
À jamais en guerre pour la vie, cette vie et contre l’abandon, la désertion, alors que même les indiens et les chefs se sont tus et sont en paix, assis, à regarder cette nouvelle bataille.
Aujourd’hui, soyez avertis, s’avance l’armée des ombres.